Waadt (Kanton)

Elements area

Taxonomy

Code

Scope note(s)

    Source note(s)

    • http://classifications.data.admin.ch/canton/VD

    Display note(s)

      Hierarchical terms

      Waadt (Kanton)

        Equivalent terms

        Waadt (Kanton)

          Associated terms

          Waadt (Kanton)

            5 Archival descriptions results for Waadt (Kanton)

            5 results directly related Exclude narrower terms
            CH ACV 875 · Fonds · 1950 - 2006

            Le fonds est composé principalement de la série très complète de 1951 à 2006 (PP 875/6-28) de procès-verbaux et de lettres circulaires, le tout classé par année. A côté de cela, il faut relever la présence des listes annuelles de membres (PP 875/4) aussi très nombreuses, ainsi que de la correspondance, qui justement s'y rapporte, tenue par la Commission chargée des nouvelles candidatures (PP 587/5). De plus, trois autres objets intéressants ont été mis en évidence lors de l'inventaire, il s'agit du classeur contenant les documents les plus importants pour l'organisation et l'histoire du Groupement (PP 875/3), une liste à jour de toutes les réunions du Groupement depuis sa création (PP 875/2 qui a permis de détailler aisément le contenu des classeurs) et enfin un petit texte de présentation (PP 875/1). Ce fonds est d'un grand intérêt, car il apporte des informations précieuses sur les nombreuses entreprises romandes visitées par le groupement. On doit pourtant admettre que si la forme des procès-verbaux des visites d'entreprise est très stable au travers des années sans être toutefois très fournie (ils sont le plupart du temps courts, de 2 à 3 pages); par contre, la documentation sur l'entreprise est, elle, très inégale. Du rapide survol du matériel conservé dans la série des procès-verbaux, on peut déduire que dans les vingt-cinq premières années, de 1951 à 1975, les classeurs ne contiennent stricto senso que les procès-verbaux de visites et ceux des discussions. C'est une réalité seulement à partir de 1975 que la correspondance est petit à petit adjointe ainsi que de la documentation sur les entreprises. Par la suite soit à partir des années 1980, la présence de la correspondance se renforce (avec aussi l'apparition des cartes de visites des gens rencontrés) mais qu'elle tendra à nouveau à disparaître à partir de 1998, ce qui sera complètement le cas à partir de l'an 2000. Pour la conservation de la documentation, au contraire, c'est dès 1998 environ qu'elle devient vraiment systématique (exception faite de l'année 2001 qui n'est documentée que pour trois visites). On doit enfin relever l'existence des comptes annuels du Groupement accolés aux procès-verbaux entre 1967 et 1980, ainsi que l'absence de comptes rendus de visite entre août 1997 et novembre 1998. Toutes ces évolutions suivent en partie les changements à la présidence du Groupement.

            Syndicats vaudois
            CH ACV PP 908 · Fonds · 1850 - 2006

            Le Cartel vaudois étant surtout un auxiliaire des autres syndicats, on trouve en premier lieu une correspondance et des doubles de documents envoyés par ces syndicats. Il y a également la gestion d'événements spécifique, en particulier les défilés du 1er mai. Outre les documents sous forme papier, on trouve également des photographies. Un sous-sous-fonds (PP 908/28-111) est réservé aux conventions collectives du travail qui sont, depuis 1937, l'ossature de ce que l'on nomme, à défaut, la "Paix du travail". A travers elles, l'étude sociale du canton de Vaud durant tout le vingtième siècle en est facilitée car l'on peut suivre l'évolution des salaires, par exemple, ainsi que la plupart des problèmes ouvriers de 1903, la plus ancienne convention particulière à disposition, à 2003. Historique des syndicats vaudois : dès la seconde moitié du XIXe siècle l'idée « d'émancipation ouvrière » fait son chemin dans le canton de Vaud et une multitude de corporations voient le jour dans les différents corps de métier. Certaines sont très actives, voire de tendance anarchiste, d'autres sont plus réservées et suivent plutôt les mouvements moins radicaux comme le groupe du Grütli. Après les grèves au début du 20e siècle, le syndicalisme révolutionnaire aboutit à un fiasco et un rapprochement avec la Suisse alémanique se fit sentir. La reconquête des syndicats se fit à partir du sommet par l'action des fédérations de l'union syndicale suisse, qui créèrent une "Confédération romande du travail" mais cette voie aboutit à une impasse. En revanche, du côté cantonal et surtout parmi les salariés, la reconstruction réussit infiniment mieux et put compter sur l'aide efficace de militants suisses-allemands et de sections syndicales alémaniques dont certaines, notamment sur la Riviera,étaient solidement implantées chez nous. Il fallut néanmoins plusieurs années pour que le mouvement ouvrier retrouvât son équilibre et à la veille de la Première Guerre mondiale, l'entreprise était achevéeet, parallèlement, Parti socialiste, syndicats et coopératives avaient trouvé leur assiette. En 1922 le canton comptait un peu plus de 8000 syndiqués groupés dans les différentes fédérations de l'Union syndicale suisse (USS). Le secrétaire de l'Union syndicale de Lausanne fit un rapport : « Pour qui connaît le mouvement syndical de notre pays, on est frappé de l'infériorité de l'organisation ouvrière en Suisse romande et dans le canton de Vaud en particulier. La cause de cette infériorité pour notre canton réside dans l'éparpillement des forces. Que voyons-nous dans notre canton ? Un secrétariat local et trois secrétariats régionaux dont l'activité s'exerce sur plusieurs cantons. Le cartel serait formé de toutes les sections vaudoises et des sections de Fribourg et du Valais qui y adhéreraient. » (cf. 50e anniversaire 1929-1979 CSV). Le besoin d'un cartel vaudois se faisant donc nettement sentir, la création du Cartel syndical vaudois (CSV) se fit le 28 avril 1929. Dans le rapport cité de 1922 on invoque les différentes tâches qui seraient confiées au cartel : "Le cartel aura pour tâche d'intensifier la propagande, de renforcer les syndicats actuels et d'en créer de nouveaux. » Il secondera le travail des fédérations et de leurs secrétariat et s'occupera particulièrement des organisations qui ne possèdent pas de secrétariat ou qui ne se rattachent à aucune fédération centrale pour les y réunir, ou qui n'en possèdent pas encore. » Il devra se rendre à l'appel des organisations qui auront besoin de ses services et participera à leurs activités." (cf. ouvrage cité.) Ces divers points contiennent pratiquement l'entier de ce qui compose le fonds PP 908 et lorsqu'en octobre 2004, les syndicats Industrie et bâtiment (SIB), Fédération des travailleurs de la métallurgieetde l'horlogerie (FTMH), Fédération des travailleurs du commerce, des transports et de l'alimentation (FCTA) et Unia, syndicat du tertiaire (qu'il ne faut pas confondre avec le nouvel Unia), ont fusionnépour fonder le syndicat Unia, les dossiers particuliers à l'Union syndicale suisse et vaudoise et surtout au Cartel syndical vaudois ont été retrouvé dans les archives de ces entités.

            CH ACV PP 845 · Fonds · 1881 - 1994

            Ce fonds comporte des statuts, des procès-verbaux, de la correspondance, des imprimés et des conférences de plusieurs entités. Ainsi, il a été divisé en quatre sous-fonds : 1° Union vaudoise du commerce et de l'industrie 2° Association des industries vaudoises 3° Chambre vaudoise du commerce et de l'industrie 4° Société des constructeurs-mécaniciens du canton de Vaud Il contient également des procès-verbaux et des documents financiers des sociétés immobilières appartenant à l'Association des industries vaudoises ainsi que des différentes caisses d'assurances de celle-ci.

            Entreprises vaudoises
            CH ACV 854 · Fonds · 1973 - 1979

            Le fonds est profondément lié à la personnalité d'Henri Rieben. Né Epalinges en 1921 dans une famille de paysans, Henri Rieben s'est éteint le 11 janvier 2006, à son domicile, à Epalinges. Sa succession, à la présidence de la Fondation Jean Monnet, par l'ancien ministre polonais des Affaires étrangères Bronislaw Geremek, dès 2006, a été annoncée le 30 novembre 2005. Alexander Bergmann, ancien doyen des Hautes Ecoles Commerciales de Lausanne, a été porté, au début de 2006, à la direction de la Fondation. Professeur à l'Université de Lausanne de 1957 jusqu'en 1991, Henri Rieben est devenu un proche de Jean Monnet dès 1955. En 1957, il inaugurait à Lausanne une des premières chaires d'intégration européenne au monde. En 1978, il crée la Fondation Jean Monnet pour l'Europe, avec l'intéressé lui-même, père de l'intégration européenne, et qui permet de recevoir les archives de Jean Monnet et celles de Robert Schuman. Les documents conservés par la Fondation doivent permettre aux chercheurs de comprendre et de faire connaître l'histoire de l'unification du Vieux-Continent. En 1981, le canton de Vaud rénove et met à disposition de la Fondation la Ferme de Dorigny, au coeur du campus universitaire. Depuis 1957, la Fondation a édité plus de 200 Cahiers rouges sur l'Europe. Elle organise également des colloques et distribue la Médaille d'or, notamment attribuée à l'ancien président de la Commission européenne, Romano Prodi, en 2003. Une déclaration de soutien à la Fondation avait alors été signée par les représentants de la ville de Lausanne, du canton de Vaud, de la Confédération et de Bruxelles. Ce texte a permis de souligner l'importance de " ce lieu de mémoire, de rencontre et d'échange, de ce centre de recherche scientifique et de rayonnement ". Deux ans auparavant, l'ancien président français Valéry Giscard d'Estaing et l'ex-chancelier allemand Helmut Schmidt étaient les lauréats de la fondation. Voici en quels termes, Bertil Galland, journaliste, directeur de l'Encyclopédie illustrée du Pays de Vaud présentait la publication Portraits de 250 entreprises vaudoises, à laquelle le fonds PP 854 est profondément lié : "chargé par l'Encyclopédie vaudoise de patronner les volumes consacrés à La Grande Mutation de l'économie contemporaine, le professeur Henri Rieben se chargea personnellement d'étudier les principales entreprises industrielles. L'investigation était vaste et complexe. La variété des activités et l'originalité des orientations régionales sont deux caractéristiques du pays de Vaud. Les documents écrits sont rares et souvent ils ne disent pas l'essentiel. Aussi l'auteur et ses collaborateurs du Centre de recherches européennes et d'abord Martin Nathusius, ont-ils voulu recueillir des témoignages de la bouche même des hommes qui ont les principaux animateurs de l'industrie vaudoise. [.] Dans le tome VIII de l'Encyclopédie vaudoise, où l'industrie et les grandes sociétés ne constituent qu'une part des domaines économiques décrits, l'enquête duprofesseur Henri Rieben devait être réduite aux informations principales. Mais son texte complet présente un intérêt considérable. Il constitue une oeuvre en soi, née du projet encyclopédique. Les décisions majeures qui ont jalonné l'histoire de chaque entreprise y sont mieux éclairées par les origines familiales des responsables, par leur tempérament, par leur vision qu'ils ont eue des aléas de la conjoncture. Autant de maisons, autant de cas". Yves Gerhard, président du Comité de l'Encyclopédie illustrée du Pays de Vaud, écrivait ceci dans le journal La Nation du 3 février 2006, en hommage à Henri Rieben : "Nous l'avons côtoyé lors de la conception des tout premiers volumes de l'Encyclopédie vaudoise : il était notre conseiller en matière économique, et nous avons été frappés par sa connaissance précise du terrain industriel vaudois, de son histoire, des milieux d'où provenaient les pionniers de l'économie des XIXe et XXe siècles. Il avait un art tout à lui de brosser des largesfresques économiques englobant la sidérurgie, les flux financiers, l'émergence des pays asiatiques, pour revenir, par des passerelles vertigineuses, au microcosme industriel suisse et vaudois. On lui doit les derniers chapitres et la belle conclusion (" Le jeu vaudois en Suisse et en Europe "), des Artisans de la prospérité". La suite du récit historique de l'économie était prête pour La Grande Mutation quand la crise pétrolière de 1974 a frappé la croissance de la production européenne. Au lieu de se lancer dans des courbes ascensionnelles sans accroc, M. Rieben a bloqué fermement l'avance des travaux pour le volume qu'on attendait, obligeant le Comité et les responsables des autres tomes de l'Encyclopédie à procéder à des interversions dans l'ordre des publications tel qu'il était prévu. Mais durant ces années - La Grande Mutation paraîtra finalement en 1980 et 1981 en deux volumes -, M. Rieben et ses assistants explorèrent les industries vaudoises sous forme d'enquêtes, recueilliessous le titre Portraits de 250 entreprises vaudoises. Le résumé de cette importante étude figure dans le tome VIII de l'Encyclopédie, sous le titre " Chercher le plus ". Le fonds présente les étapes de la recherche sur les entreprises vaudoises, avec les principaux éléments documentaires préparatoires et rédactionnels et la correspondance concernant l'élaboration de la recherche et les relations avec le comité de l'Encyclopédie illustrée du Pays de Vaud. Des parts n'ont pas été reprises comme telles dans la publication finale, la documentation de base (interviews) étant la plus originale.

            CH ACV PP 907 · Fonds · 1800 - 2005

            Outre les documents sous forme papier, on trouve aussi des documents audiovisuels, des objets, des drapeaux, des affiches et de nombreux imprimés. La belle collection de 43 drapeaux, étendards et fanions (dont certains, vieux de plus d'un siècle), proviennent de formations syndicales insoupçonnées) Un sous-fonds est composé de livres et de divers autres imprimés traitant presqu'exclusivement des problèmes sociaux ainsi qu'une collection complète, de 1908 à 2003, des organes de presse de la Fédération des travailleurs de la métallurgie et de l'horlogerie : Le Métallurgiste, La lutte syndicale, L'Evénement syndical et l'Apprenti. On trouve également les organes officiels du Syndicat Industrie et Bâtiment de 1929 à 1998, avec quelques lacunes, ainsi que les séries complètes des organes dela Fédération des travailleurs du commerce, des transports et de l'alimentation, Solidarité FCTA. Mais la grande majorité du fonds, qui se divise en deux grandes lignes : les secrétariats régionauxde Lausanne et les sections locales du canton, reste le résultat du travail de bureau : procès-verbaux, listes de membres, comptabilité, rapports divers, informations et directives pour les membres, pour les groupes de travail et de métiers certains avec des notes, quelquefois pertinentes, des secrétaires de section et naturellement toute une correspondance des plus diverse. On trouve enfin la gestion des manifestations, tant externes qu'internes, des cours et des nombreux camps, ainsi que l'aménagement des différents biens immobiliers, ainsi que d'une nombreuse revue de presse. Historique des syndicats vaudois à l'origine d'UNIA : en octobre 2004, les syndicats Industrie et bâtiment (SIB), Fédération des travailleurs de la métallurgie et de l'horlogerie (FTMH), Fédération des travailleurs du commerce, des transports et de l'alimentation (FCTA) et Unia, syndicat du tertiaire créé en 1996 (qu'il ne faut pas confondre avec le nouvel Unia), ont fusionné pour fonder le syndicat Unia. Ils possédaient tous les trois des archives régionales datant du milieu du 19e siècle. En effet, dès la première moitié du 19e siècle de nombreuses fédérations, groupements et associations d'ouvriers commencent à se regrouper aux seins d'organisations plus importantes au niveau suisse bien que les organisations vaudoises ont eu plus de mal à se départir de leurs prérogatives. Les ouvriers de la métallurgie et de l'horlogerie fondèrent en 1915 la FTMH, cette même année la FCTA regroupe les meuniers, les tonneliers, les charbonniers, les jardiniers, les ouvriers du tabac, des brasseries, des boucheries, des laiteries, des charretiers, des cochers et des conducteurs, des nettoyeurs, des magasiniers des emballeurs et des garçons de course. En raison de la structure hétérogène des branches et dela rapide mutation structurelle dans le secteur tertiaire, l'effectif des membres de la FCTA commença à se replier à partir du milieu des années soixante. Quant aux ouvriers appartenant aux industriesdu bois, du bâtiment, des pierres et des terres, de la charpenterie, de la plâtrerie et peinture, ils fusionnèrent en 1920-1922 pour former la Fédération des ouvriers sur bois et du bâtiment (FOBB). En 1974 ce dernier syndicat prit l'appellation de Syndicat du bois et du bâtiment (SBB) et dix ans plus tard, en fusionnant avec la Fédération du personnel du textile, de la chimie et du papier (FTCP) deviendra le syndicat SIB. Pour chacun de ces syndicats un secrétariat régional romand (tous ont élu domicile à Lausanne) est créé ainsi que des sections locales dressées principalement sur les anciennes structures d'organisations ouvrières. Les procès-verbaux nous révèlent l'évolution de ces structures d'abord avec des séances organisées dans les arrières salles de cafés, ou simplement dans unlocal de l'entreprise où le secrétaire, ayant pris ses notes, les retransmet au propre chez lui sur un simple cahier d'écolier. On peut même dire que le terme de secrétaire syndical avait tout son sensdans la première moitié du XXe siècle, car c'est à lui que l'on demandait d'effectuer la correspondance, la comptabilité et il n'est pas rare de trouver subitement des pages blanches ou de lire dans ces cahiers que le président doit faire la synthèse des PV d'une certaine période faute de trouver un nouveau secrétaire, de noter à chaque séance une écriture différente, voire même une langue différente, où encore on retrouve un secrétaire seul à se présenter à la réunion, "Présent : 1" et après avoir retranscrit fidèlement l'ordre du jour il marque de dépit : "Lorsqu'il y a des revendications, il y a plus de personnes que de membres, ensuite tout le monde se désintéresse." Mais à partir du second tiers du siècle, les syndicats se développent, les secrétaires régionaux peuvent enfin accéderà un bureau et même avoir droit, pour certain, à une employée de bureau, polyvalente, il va sans dire. Plus les années avances plus la structure se complète et se professionnalise. Aux fils des ans lessecrétaires deviennent permanents, les délégués doivent suivre des cours, à la simple secrétaire s'ajoute les comptables, les employés de commerce, les aides de bureau et tout naturellement la paperasserie s'accroît en proportion, le simple rédigé manuscrit devient un polycopié, une photocopie et enfin un imprimé. C'est de tout cela qu'est constitué le fonds PP 907, où, si l'on retrouve bien les luttes syndicales, c'est surtout la vie des sections qui est représentée : les informations aux membres, les journaux comptables, les notes des secrétaires pour leur cours ou les présentations aux assemblées. C'est par le biais des rapports de consultations paritaires, des directives, des renseignements plutôt confidentiels sur les entreprises, que l'on suit le mouvement syndical, les grèves, les conflits. Sous les pavés la dactylographe et le secrétaire, le juriste et le militant. Mais nous y trouvons également ce qui égaie les bureaux : les excursions, les soirées de fin d'année et le partageavec les syndiqués des jours de stage à La Varlope ou au chalet du Moléson, des repas de fête telle la fameuse "soupe aux pois" de Sainte-Croix ou les soirées des jubilaires qui font le plein de souvenirs dans les têtes et remplir de photographies les cartons. N'oublions surtout pas la fête du travail où tous s'activent, préparation des discours, notes de frais et listing des membres. Naturellement la liste est bien incomplète dans ce résumé on l'on pourrai ajouter le chômage, les assurances sociales, les comités de solidarités, etc.